Pépère (à mon père André Hillion 1914-1980) | |
Pour écouter Bernard Dimey |
Pépère, écout'pas ça, c'est du mélancolique.
En souvenir de mon père, grand amateur d'Arts, qui déjà se faisait appeler "pépère", et qui a connu Bernard Dimey dans les années 70. Le voici à la Galerie Roussard en compagnie de Bernard Dimey pendant la scéance d'autographes. |
dire son poème soyez patient pendant le chargement |
|
|
Nous avons hérité d'un livret de poèmes originaux qui a été réalisé par Bernard Dimey "LES HUIT PÉCHÉS CAPITAUX" déjà tout un programme... Ce livret est doublement original puisqu'il a été illustré de lithographies de Jordi Bonas a été offert à mon père pour je ne sais plus à quelle occasion. Pour découvrir ce magnifique livre, cliquer sur la dédicace ci-dessous |
|
Cet ouvrage a été tiré à 220 exemplaires sur Velin d'Arches et numérotés de I à 220 22 exemplaires sur papier Japon numérotés de IX à XXX, (nous possèdons le numéro IX) 8 exemplaires hors commerce sur papier Japon, chaque exemplaire enrichi d'une gouache de Jordi Bonas et d'un poème manuscrit de Bernard Dimey, numérotés de I à VIII Les lithographies ont été tirées sur les presses de l'Atelier Grapholin |
Pour rencontrer Jordi Bonas cliquer sur sa dédicace |
|
Écoute pas ça, j'te dis ; t'as déjà l'oeil
qui brille, Je vois l'accordéon tourner sous ta casquette Pépère, écout' pas ça, et parle-moi d'Germaine. Pépère, écout'pas ça, tu vas pleurer par
terre C'est pernicieux comme tout les pianos à bretelles, Pépère, on va rentrer, vas-y, finis ta bière, |